Adolf Anderssen n'hésite pas à sacrifier toutes ses pièces lourdes et à accorder un énorme avantage matériel à son adversaire pour parvenir à un superbe mat de pièces mineures (avec 1 fou et 2 cavaliers); du très grand art!
Selon le grand maître d'échecs soviétique Alexandre Kotov (1913 1981) cette partie date de "l'aube des échecs modernes" dans lesquels on cherche à privilégier, en tout premier lieu, le jeu positionnel.
Cliquer ici pour consulter le fichier PGN de cette célèbre partie sur le site Internet chessgames.com Adolf Anderssen contre Lionel Kieseritzky (1851) Le jeu immortel (chessgames.com)