niveau 1 débutant
Les Blancs jouent et gagnent du matériel. La solution sera fournie ultérieurement.
Vous trouverez en lien le fichier PGN de la partie Capablanca Marshall qui fut jouée à New York le 23 octobre 1918.
Cette partie débute avec une attaque Marshall, alors une nouveauté, mais elle ne permit pas à Marshall de s'imposer. Par contre, l'Américain l'utilisa avec succès à l'occasion d'autres rencontres ultérieures.
lien: fichier PGN annoncé Jose Raul Capablanca vs Frank Marshall (1918) Cadeau de nouveauté (chessgames.com)
L'attaque Marshall qui permet aux Noirs un jeu agressif doit son nom au joueur américain Frank James Marshall (1877 1944).
lien:
le gambit Marshall sur Wikipédia: Gambit Marshall — Wikipédia (wikipedia.org) - l'article de ce blog l'attaque Marshall 2: le jeu d'échecs: l'attaque Marshall 2 (jeuechecs2021.blogspot.com)
Aux échecs, le swindle (de
l'anglais arnaque, escroquerie) consiste à tenter de renverser une position
perdue en tendant un piège ou en jouant un coup inattendu.
Parfois on appelle aussi swindle
le fait d'utiliser une tactique de distraction de l'adversaire en dehors de
l'échiquier, par exemple: se mettre en zeitnot volontairement pour jouer des
coups rapides et inciter l'adversaire à faire de même, jouer un coup en
soupirant et faisant mine d'avoir commis une bourde alors qu'il s'agit d'un
piège.
Table d'appariement standardisée dans un tournoi toutes rondes où tous les joueurs se rencontrent.
Le xiangqi (chinois : 象棋 ;
pinyin : xiàngqí ;
Wade : hsiang-ch'i ;
cantonais Jyutping : zeong kei ; cantonais Yale : jeuhng kéi ; littéralement :
« échiquier des éléphants »), aussi appelé « échecs
chinois » (par opposition aux échecs occidentaux), est un jeu de société
combinatoire abstrait qui se joue sur un tableau rectangulaire de 9 lignes de
large sur 10 lignes de long. Le jeu est également connu au Japon sous le nom de
kawanakajima shōgi (le shōgi est un autre jeu d’échecs traditionnel au Japon,
dont il existe aussi de nombreuses variantes).
Ce jeu se joue avec 16 pièces par joueur qui sont placées sur les intersections des lignes. Les deux camps sont le rouge et le noir (ou bleu). Une rivière, qui limite aussi les déplacements autorisés de certaines pièces, sépare les deux camps sur le plateau où figure aussi la position de chaque palais.
« Aux échecs on pourrait croire qu'il y a peu de forts joueurs et beaucoup de mauvais. Cependant il y a autant de joueurs qui gagnent que de joueurs qui perdent. »
Philippe Geluck